La terre vit et on oublie très souvent cela. Nous avons l’impression que tout est figé.
C’est seulement quand les tremblements de terre, les tsunamis, les éruptions volcaniques font parler d’eux que l’on réalise que notre planète terre est bien vivante.

La géobiologie c’est l’étude des sols, c’est en quelques sortes l’études de ce que l’on voit pas !

Parfois, on perçoit des choses que l’on arrive pas à expliquer. On privilégie de mettre son bureau à tel emplacement qu’à un autre. Ou bien, on change plusieurs fois de place à son lit, comme si quelque chose nous perturbait, mais on ne peut y mettre des mots. 

C’est notre instinct animal qui parle!
Quand un séisme se prépare, les bêtes le sentent et fuient pour se protéger. Celles qui sont dans les étables s’énervent, beuglent, hérissent. Pourquoi ? Car les murs Hartmann qui sont invisibles mais bien présents se gonflent. De ce fait, les animaux ressentent cette pression. Si l’homme s’écoute, il percevrait se changement.. très souvent les gens sont plus énervés, violants, tendus. Comment sommes nous avant un orage ? Les enfants sont de vrai baromètre pour cela :))

Les perturbations sont nombreuses sous les maisons. On y trouve bien évidemment les cours d’eau, mais aussi les failles…
On décèle aussi les noeuds Hartman et Curry qui peuvent perturber l’être humain dans son quotidien. 

Dans les années 1935 alors qu’il est encore étudiant en médecine à l’Université de Heidelberg en Allemagne, Ernest Hartmann développe la certitude qu’un réseau quadrillé de courants qu’il qualifie de « telluriques » couvrirait l’ensemble de la surface du globe terrestre. Il pense que certains lits de l’ hôpital présentent une plus grande propension aux troubles de la santé que d’autres. Après avoir inversé les lits, il en serait venu à la conclusion que ce n’était pas le lit qui était en cause, mais son emplacement. Il en vint donc à supposer le rôle des “ondes terrestres”.

Hartmann postule alors l’existence des « murs d’ondes » verticaux d’une largeur de 21 cm orientés nord-sud et est-ouest, dits « ondes telluriques » Leur intersection avec la surface du globe constituerait un maillage, un treillis. Si l’on dort ou si on travaille sur ces noeuds, on peut avoir des problèmes de santé, ou se sentir stressé…

Ces murs peuvent être détectés dans la nature ou dans le jardin d’une habitation. Sur la trajectoire, on aura un arbre mort ou en mauvaise santé, une fissure dans le mur d’enceinte du jardin ou sur la maison, une fourmilière qui y réside, un arbre tordu, qu’il donne l’impression qu’il évite quelque chose… Un saule pleureur donne l’indice qu’il y a de l’eau soit une rivière souterraine quand celle-ci n’est pas visible. 

Ces petits signes sont des éléments qui peuvent nous mettre sur la piste lorsqu’on fait une expertise des lieux.